L’écoute active : Une arme infaillible contre le jugement négatif

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Femme d'affaires qui écoute sa collègue parler avec attention
Source : GettyImages

Avez-vous déjà été dans une réunion où une simple suggestion a été interprétée comme une remise en cause de tout le projet ? Ou bien, avez-vous déjà proposé une idée, seulement pour voir votre collègue la rejeter sans même chercher à comprendre votre raisonnement ?

Combien de fois avez-vous vu une conversation qui aurait pu être constructive, tourner court à cause d’un jugement hâtif ou d’une interprétation erronée ?

Dans le feu de l’échange, il est facile de se laisser emporter par ses propres perceptions ou préjugés et d’interpréter les propos de l’autre, créant ainsi des malentendus et des tensions inutiles.

Mais que se passerait-il si, au lieu de juger ou d’interpréter, nous prenions le temps d’écouter et de clarifier ?

Oui, l’écoute active, on en parle souvent… Mais pourquoi est-ce si important, surtout quand on veut contrer le jugement négatif ? Parce qu’en réalité, c’est bien plus qu’une technique de communication, c’est un vrai levier pour désamorcer les tensions et éviter les malentendus.

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Alors, avant de plonger dans le vif du sujet, définissons clairement ce qu’est l’écoute active et pourquoi elle fonctionne aussi bien.

#1 – Écoute active : c’est quoi au juste ?

L’écoute active, c’est bien plus que simplement hocher la tête en attendant que l’autre ait fini de parler. En réalité, il s’agit d’un outil extrêmement puissant, utilisé notamment en coaching.

Pourquoi ? Parce qu’il permet de créer une véritable connexion avec son interlocuteur en allant au-delà des mots.

Lorsque vous écoutez activement, vous êtes totalement concentrée sur la personne qui parle. Vous captez non seulement ce qu’elle dit, mais aussi comment elle le dit : ton de voix, langage corporel, et même les silences.

Main autour de l'oreille pour mieux entendre
Source : Gettyimages

La clé de l’écoute active, c’est de ne pas juger, de ne pas interrompre, mais plutôt de chercher à comprendre l’intention derrière les mots.

C’est exactement là que la PNL (Programmation NeuroLinguistique) intervient : en décodant les schémas de pensée et de communication de l’autre, vous pouvez reformuler ce qu’il dit pour vérifier si vous avez bien compris.

Par exemple, quand quelqu’un dit « Je ne suis jamais à la hauteur », une reformulation en écoute active serait : « D’accord. Tu trouves que tu n’es jamais à la hauteur ».

Ici, on reste fidèle aux mots de l’interlocuteur sans y ajouter notre propre interprétation. Le but est de permettre à la personne de clarifier elle-même sa pensée, tout en lui montrant qu’on l’écoute vraiment. C’est ainsi qu’on respecte son modèle du monde, un principe central en PNL.

Et c’est là que la magie opère : l’écoute active permet de réduire les malentendus et d’instaurer un climat de confiance, où chacun se sent véritablement entendu et compris.

Tout ça, c’est bien beau, mais concrètement, comment fait-on pour écouter sans se laisser parasiter par nos propres pensées, jugements ou réflexes de réponse automatique ? Ça demande un petit effort, mais rassurez-vous, c’est plus simple qu’il n’y paraît.

#2 – Écouter l’autre sans juger : la clé pour mieux le comprendre

Écouter sans juger, c’est un peu comme mettre son cerveau en « mode pause ». Vous savez, cette petite voix intérieure qui commente, critique ou évalue tout ce qu’on entend ? Eh bien, l’idée, c’est de la calmer.

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Pas de panique, ça ne veut pas dire la faire taire complètement, mais plutôt la mettre en sourdine pour vous concentrer uniquement sur ce que dit l’autre personne. Vous vous mettez dans une posture d’ouverture totale.

Cela demande de rester présent, d’éviter d’interpréter ou de sauter trop vite aux conclusions. En coaching, on appelle ça être « dans l’instant » avec l’autre, sans projection ni analyse.

Maintenant, ne nous mentons pas, au début, ça peut être un vrai défi.

Pourquoi ? Parce qu’on est tous câblés pour juger. Notre cerveau adore ça, il prend des raccourcis pour économiser de l’énergie.

Jeune femme qui explique quelque chose de façon  animée
Source : Gettyimages

Mais quand on juge, on se ferme à l’autre et on risque de manquer l’essentiel. L’idée ici est donc de faire un effort conscient pour suspendre cette tendance naturelle et de rester vraiment connecté à ce qui est dit.

Prenons un exemple concret : imaginez que vous êtes en réunion et une collègue fait une remarque que vous trouvez un peu à côté de la plaque. Votre premier réflexe ? « Elle n’a rien compris ! » ou « Ça n’a aucun sens ! »

Ce jugement arrive instantanément, avant même que vous ayez pris le temps de vraiment réfléchir à ce qu’elle a dit.

L’écoute active, dans ce cas, consiste à stopper cette pensée critique et à essayer de comprendre pourquoi elle voit les choses ainsi. Peut-être qu’elle a une information que vous n’avez pas, ou qu’elle aborde le problème sous un angle différent.

L’objectif n’est pas d’être d’accord, mais de chercher à comprendre.

Mais attention, ce n’est pas parce que vous écoutez que tout est gagné. Il y a une erreur fréquente qui peut tout faire dérailler, même quand on pense bien faire. Et cette erreur, elle est plus courante qu’on ne le croit…

#3 – L’erreur à ne surtout pas commettre !

Quand on reformule, on a tendance à utiliser nos propres mots.   

Par exemple : si un collègue dit « Je trouve que cette stratégie est bancale », reformuler en disant « Tu veux dire que la stratégie actuelle n’est pas viable sur le long terme ? » peut sembler logique, mais vous introduisez ici une nuance qui n’était peut-être pas dans son intention. Il parlait peut-être simplement d’un ajustement à court terme.  

La clé, c’est donc de reformuler ce qu’il a dit, en utilisant exactement les termes de votre interlocuteur, pour clarifier et vérifier que vous avez bien saisi son point de vue.

Pourquoi est-ce si important ? Parce que si vous commencez à reformuler avec vos propres mots, vous courez un risque : celui d’interpréter.

Or en interprétant, vous introduisez forcément vos propres filtres, votre propre perception de la situation et ce n’est plus vraiment ce que l’autre a dit. C’est un peu comme traduire une langue sans en comprendre toutes les subtilités.

Ce genre de reformulation peut passer à côté du sens original et, dans le pire des cas, donner l’impression que vous jugez ou ne comprenez vraiment pas ce que l’autre a voulu dire…et dégénérez en conflits ou en discussions stériles.

Coach qui écoute sa cliente
Source : Gettyimages

C’est pourquoi, en coaching, on privilégie l’utilisation des mots exacts de l’interlocuteur. Cela permet de rester fidèle à son message sans ajouter vos propres interprétations.

Par exemple, vous pourriez dire : « Si je comprends bien, tu trouves que la stratégie actuelle est bancale, c’est ça ? »

Ici, vous respectez son vocabulaire, vous évitez toute projection personnelle et vous vous assurez que votre interlocuteur se sente vraiment entendu. En faisant cela, non seulement vous montrez que vous écoutez vraiment, mais vous invitez aussi l’autre à préciser sa pensée.

Vous allez me dire « c’est bien joli tout ça, mais j’ai l’impression de faire le perroquet et de ne pas faire évoluer la situation ». Détrompez-vous !

Ce que vous allez découvrir maintenant va peut-être changer votre façon de voir la reformulation, et croyez-moi, ça vaut le détour. Parce que ce n’est pas juste une répétition, loin de là.

Prête à voir la reformulation sous un angle nouveau ?

#4 – La puissance de la reformulation

La reformulation, c’est bien plus qu’un simple écho des mots de votre interlocuteur. C’est un outil incroyablement puissant qui permet de creuser, de clarifier, et d’approfondir la conversation.

En répétant fidèlement ce que l’autre a dit, vous lui offrez un miroir de ses propres pensées. Et là, quelque chose d’intéressant se produit : en entendant ses propres mots à haute voix, la personne prend souvent conscience de nuances qu’elle n’avait pas envisagées. Vous lui permettez de mieux comprendre ce qu’elle ressent ou pense vraiment.

C’est là que la magie opère. Car il y a de fortes chances que la personne enchaîne et développe spontanément sa pensée. En reformulant fidèlement, vous l’invitez à pousser sa réflexion plus loin, à explorer des zones qu’elle n’avait peut-être pas envisagées.

Vous serez surprise de constater que ce processus la mène souvent à des prises de conscience surprenantes. Tout ça, sans que vous n’ayez ajouté une seule idée de votre propre cru ! C’est ça, la vraie puissance de la reformulation : vous facilitez l’émergence d’une nouvelle perspective, sans avoir à imposer quoi que ce soit.

Le plus fascinant, c’est que plus la personne se sent écoutée et comprise, plus elle se sent en confiance. Cela crée un cercle vertueux : elle se sent libre d’approfondir son raisonnement, d’exprimer des idées qu’elle n’aurait peut-être pas osé partager autrement.

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Résultat ? Vous débloquez des situations, faites avancer la conversation et créez un climat d’échange vraiment constructif. Et tout ça, simplement en étant là, attentive, à l’écoute, en reformulant. Ça paraît presque trop facile, non ?

Mais attendez ! Vous êtes loin d’avoir tout vu !

#5 – Pousser plus loin : questionner pour clarifier

Reformuler, c’est déjà très puissant, mais il y a des moments où ça ne suffit pas. Parfois, même en répétant exactement les mots de l’autre, certains aspects restent flous, des détails nous échappent.

Et c’est là que poser des questions devient essentiel. En réalité, ce sont ces petites questions supplémentaires qui vont vous permettre d’éclaircir les zones d’ombre et d’approfondir la discussion.

Femme qui se pose une question
Source : GettyImages

Imaginez : vous avez bien reformulé, « Si je comprends bien, tu trouves que la stratégie actuelle est bancale, c’est ça ? »

La personne vous répond « oui, c’est ça ». C’est bien beau, mais vous êtes toujours complètement dans le flou… que veut-elle dire exactement par « bancale » ? Vous n’en savez fichtre rien.

Alors, comment éviter toute interprétation ? La réponse est bête comme chou ! Il suffit de le lui  demander !

« Qu’est-ce que tu entends par ‘bancale’ ? » ou encore « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? »

Ce genre de questions ouvre la voie à plus de précisions et permet à la personne de mieux définir ce qu’elle veut dire… et à vous, de mieux comprendre ses propos.

Non seulement vous évitez de rester dans le flou, mais vous encouragez également votre interlocuteur à affiner sa pensée, à explorer les détails qui, au fond, peuvent faire toute la différence dans la conversation. En un mot, vous facilitez encore plus la réflexion, tout en restant dans une posture d’écoute active.

Vous voulez connaitre les questions clés qui vous permettront d’aller au fond des choses et d’obtenir des réponses vraiment claires à tous les coups ?

Préparez-vous car je vous partage sans attendre une méthode infaillible qui ne laissera plus jamais place au doute. Et croyez-moi, quand vous l’aurez adoptée, vous ne pourrez plus vous en passer.

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#6 – CQQ COQP : La formule magique pour obtenir des réponses claires

Alors, c’est quoi cette méthode miracle ? C’est le CQQ COQP !

Un acronyme pas très glamour, je vous l’accorde, mais ne vous y trompez pas, il est incroyablement efficace.

Cette technique, c’est un peu comme un couteau suisse de la communication : elle vous permet de débloquer n’importe quelle conversation en un rien de temps. Vous l’utilisez pour explorer, clarifier et surtout, éviter les incompréhensions qui tournent en rond.

Derrière cet acronyme un peu barbare se cachent les questions essentielles : Comment ? Quoi ? Qui ? Combien ? Où ? Quand ? Pourquoi ? Elles sont des alliées infaillibles pour clarifier les zones d’ombre et faire avancer la conversation sans brusquer l’autre.

7 mots interrogatifs
Source: Adobe Stock

Reprenons l’exemple de notre « stratégie bancale ». Vous pourriez demander : « Comment cette stratégie pourrait être améliorée selon toi ? » ou « Qu’est-ce qui te semble bancal dans cette stratégie ? »

Ces questions permettent d’obtenir des précisions concrètes et évitent les réponses vagues.

Vous pouvez aussi aller encore plus loin en demandant : « Pourquoi penses-tu que cette stratégie est bancale ? » ou « Que faudrait-il pour que cette stratégie ne soit pas bancale ? ».

Chaque question est une opportunité d’affiner la réflexion sous un angle différent, de découvrir des informations que l’autre n’avait peut-être pas encore formulées clairement.

Le plus fascinant, c’est que ces questions ne mettent pas la personne sur la défensive. Elles montrent au contraire que vous êtes vraiment en train d’écouter et de chercher à comprendre.

En pratique, plus vous les utilisez, plus la conversation devient fluide et constructive. Vous n’imposez rien, vous suivez simplement le fil de la pensée de l’autre, tout en l’encourageant à creuser encore plus loin.

C’est là que l’écoute active devient un véritable levier pour créer des échanges riches et productifs !

Et tout comme moi, vous serez surprise d’entendre : ‘Mais tu as raison, c’est idiot ce que je dis’… alors que tout ce que vous avez fait, c’est simplement poser des questions !

Pour conclure

Vous l’aurez compris, l’écoute active n’est pas juste un art de bien communiquer, c’est une véritable stratégie pour désamorcer les tensions, éviter les malentendus et surtout, renforcer les relations.

Croyez-moi, reformuler, poser les bonnes questions, utiliser des outils comme le CQQCOQP… tout cela transforme vos échanges, aussi bien dans le monde professionnel que personnel.

Alors, la prochaine fois que vous vous retrouvez dans une conversation tendue ou face à un jugement, essayez ces techniques ! Et qui sait ? À force d’entraînement, vos jugements négatifs pourraient bien devenir des discussions passionnantes, pleines de découvertes et de nouvelles perspectives !

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Avez-vous déjà utilisé l’écoute active dans une conversation tendue pour désamorcer un jugement ou un malentendu ? Ou peut-être avez-vous découvert que reformuler et poser les bonnes questions pouvait transformer complètement un échange ? À moins que vous ne soyez encore sceptique sur l’impact de cette technique, mais curieux d’en savoir plus ?

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Commentaires 14

  • Ton article sur l’écoute active est un vrai guide pour ceux qui cherchent à améliorer leur communication et leurs relations. J’aime beaucoup la façon dont tu mets en avant l’importance de l’écoute sans jugement : cela paraît simple, mais tu montres bien combien c’est essentiel et pourtant peu instinctif. Les conseils que tu partages, notamment sur l’attention à l’autre et le fait de reformuler, sont clairs et pratiques, et ils donnent vraiment envie de les appliquer au quotidien. Merci pour cette approche bienveillante et accessible !

    • Un grand merci pour ton retour, Miren ! Je suis contente que l’article t’ait inspiré. Tu as raison, l’écoute sans jugement est un vrai défi, mais bien pratiquée, elle peut transformer nos échanges en profondeur. J’espère que ces conseils te seront utiles !

  • Merci pour cet article.

    Clairement l’écoute active est peu (mal ?) pratiquée, que ce soit en coaching ou en consulting.
    Ce qui est dommage car c’est un outil extraordinaire pour comprendre l’autre.

    Un petit complément au niveau de la reformulation : j’utilise beaucoup le « Qu’est ce que tu entends pas… ». Dans ton exemble de « bancal », ce terme est suffisamment vague pour chercher à comprendre ce que ça signifie pour la personne.

    • Merci beaucoup pour ton retour ! Je suis totalement d’accord, l’écoute active est parfois sous-estimée alors qu’elle est essentielle pour réellement comprendre l’autre, que ce soit en coaching ou en consulting.
      Ta technique de reformulation est très pertinente, et j’aime particulièrement le « Qu’est-ce que tu entends par… » : ça ouvre vraiment la porte à des clarifications qui peuvent faire toute la différence dans l’échange.
      Merci pour ce partage d’astuce, je suis sûre qu’il inspirera d’autres lecteurs également !

  • J’ai souvent tendance à juger rapidement, et ton approche me rappelle à quel point il est important de vraiment écouter pour comprendre sans se précipiter. Les conseils que tu partages sont pratiques et moi donnez envie de mettre davantage de bienveillance dans mes échanges. Un rappel précieux pour des relations plus saines et authentiques !

    • Merci beaucoup pour ton commentaire, Jackie ! Je suis ravie que mes conseils te parlent et t’inspirent à cultiver plus de bienveillance dans tes échanges. Je te souhaite de belles conversations pleines d’authenticité et de compréhension

  • Merci Patricia pour cet article qui me parle beaucoup… Il est vrai que c’est une chose si facile de porter un jugement, bien plus difficile de comprendre la façon de voir de l’autre. Nous avons tous un monde intérieur qui nous est propre, avec nos façons d’agir avec le monde extérieur. Nos programmations, nos émotions … tout cela joue un rôle important sur la façon de juger ou la façon de traiter un jugement. Je retrouve là les bases d’un vrai coaching avec l’écoute active et les questions ouvertes. Merci pour ce bel article qui va dans le sens de celui que je viens de publier, comment résoudre les conflits efficacement.

    • Merci beaucoup pour ton message, Pascal, ça me fait tellement plaisir de voir que l’article te parle ! Tu as raison, prendre le temps de comprendre le monde intérieur de l’autre demande une vraie ouverture, et c’est au cœur d’une communication bienveillante. Je suis ravie de voir que nous partageons cette vision du coaching et de l’importance des outils comme l’écoute active et les questions ouvertes.
      Et quel beau sujet que celui des conflits ! Je vais aller lire ton article Merci beaucoup pour ton message, ça me fait tellement plaisir de voir que l’article résonne pour toi ! Tu as raison, prendre le temps de comprendre le monde intérieur de l’autre demande une vraie ouverture, et c’est au cœur d’une communication bienveillante. Je suis ravie de voir que nous partageons cette vision du coaching et de l’importance des outils comme l’écoute active et les questions ouvertes.
      Et ton article sur la résolution des conflits a éveillé ma curiosité, je vais aller le lire ! Encore merci pour ce bel échange et à bientôt !

  • J’utilise beaucoup l’écoute active dans mon activité professionnelle et je me retrouve parfaitement dans ton article. C’est pour moi un outil puissant pour rentrer en contact et comprendre les motivations et les intentions de notre interlocuteur.

    Merci pour ce bel article

    • Merci beaucoup pour ton retour, Eric ! Je suis ravie de voir que l’écoute active est aussi une pratique essentielle pour toi. C’est vrai, cet outil permet de créer du lien avec notre interlocuteur et ouvre vraiment la porte à une compréhension plus profonde de l’autre. Ça fait plaisir de partager cette vision avec toi ! Merci encore pour ton message et au plaisir d’échanger à nouveau !

  • Merci pour cet article de qualité Patricia ! La partie sur le questionnement m’a particulièrement intéressé. Il permet de faire basculer la discussion sur un ton rationnel et de faire baisser la tension.

    • Merci pour ton retour, Vincent ! Je suis vraiment contente que la partie sur le questionnement ait retenu ton attention. Tu as raison, c’est un outil puissant pour ramener de la clarté dans la discussion et réduire les tensions. C’est toujours enrichissant de voir que certains aspects résonnent particulièrement ! Au plaisir d’échanger à nouveau avec toi !

  • C’est très intéressant et ça permet de se rendre compte qu’on n’applique pas obligatoirement à notre vie professionnelle ce qui s’impose naturellement dans notre vie privée. Pour moi, la clé est là. Être la même personne avec les mêmes valeurs où que l’on soit et faire de l’écoute de l’autre un tremplin d’amélioration. Merci pour ce partage

    • Merci beaucoup pour ton retour ! Tu mets le doigt sur un point essentiel : cette cohérence entre nos valeurs personnelles et professionnelles. C’est vrai qu’en cultivant cette unité, on peut non seulement mieux s’épanouir, mais aussi enrichir nos relations, peu importe le contexte. J’aime beaucoup ta vision de l’écoute comme un tremplin d’amélioration, c’est tellement juste ! Merci Sophie, pour ce bel échange

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